Coucoulesamis(etlesautres)!!!
Commevousl’avezsûrementcomprit,jevaisparlerdetoutetn’importequoi(vraiment)danscetarticle.
Sansuneseulefoismettred’espaces,c’estrelouhein?!
Voussavez,lesgnouscidessoussontdesgnousquepersonneneconnaît!
Jenesaispaspourquoi,maiscesgnousnesontpashumains,normal,cesontdegnous!
P-S : Désolée pour l’erreur qu’il y avait eu avec le texte qui dépassait, je crois l’avoir réglé ! 😛
NoooOOOOOOOOOOOOOOOOOOOooooooon !!! C’est trop ridicule. Jamais je n’aurai pu tenir sans mettre un seul espace ! 😀
P-S : Je sais que certains d’entre vous (petite formule pour ne viser personne) ont déroulé la souris pour savoir si j’allais faire ça dans tout l’article ! Ce n’est pas bien (je rigole, je ne suis vraiment pas le style de personne à tout trier par « bien » et « mal ») ! 😛 😛 😛
Bref, comme je sais que le gnou fait rire certains d’entre vous (Ha ha ! 😀 ), je fais un article dessus… 🙂
Les gnous sont les deux espèces de bovidés du genre Connochaetes. Ils sont herbivores et vivent en troupeau en Afrique. Ce sont des mammifères ongulés. On rencontre des gnous en Afrique du Sud, au Kenya et en Tanzanie. Contrairement aux apparences il s’agit bien d’une antilope.
Vous l’avez donc compris, il y a deux types de gnous ! 😀
- le Gnou bleu (Connochaetes taurinus, Burchell, 1823) ou Gnou à queue noire, le plus répandu, dans la plus grande partie de l’Afrique, sauf au Cap.
- le Gnou noir (Connochaetes gnou, Zimmermann, 1780) ou Gnou à queue blanche, (en Afrique du Sud seulement).
Voici le gnou bleu ! 😀 Il est mignon, hein ?
Sa morphologie est très particulière et on comprend son classement dans une sous-famille à part. Si les pattes sont plutôt hautes et moyennement robustes, le corps est assez massif. L’ensemble donne un animal puissant mais adapté à la course, un gnou pouvant courir à 65 km/h. Rappelons que l’adaptation à la course est une condition obligatoire pour la survie en Afrique, où les prédateurs, tous plus rapides les uns que les autres, abondent. Ce n’est pas un hasard si la nature a sélectionné des formes adaptées à la course chez les Bovidés d’Afrique : seuls ces animaux peuvent survivre. Le fait que les jeunes gnous sont capables de marcher très peu de temps après la naissance (3 minutes !) et de courir (1 h !) est également une conséquence de cette pression de sélection.
Le gnou bleu est plus lourd, il pèse jusqu’à 230 kg pour 1,4 m au garrot.
Le gnou à queue blanche pèse 160 kg pour 1,1 m au garrot.
- Larousse
- Le site « officiel » du gnou
- Pratique !
- L’Internaute (c’est normal si vous tombez sur une des images que j’ai intégré dans cet article)
- Wikipédia
- Youtube
- Chasseur d’ailleurs (oui, le gnou se chasse)
- Megatheriom
Allez, salut ! 😛 😀 🙂 J’ai du travail moi… 🙂
et cet article aussi d’ailleurs
j’adore tes blagues!
Hihihihihi, merci ! (je ne m’en rappelle plus trop mais bon…) 😛
J’ADOOooOOOORE LES GNooooOOOOOUS!
Moi auuuUUUUUUUuuuussi ! 😀
Hahaha!
Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!! 😛 😀